Neko est un petit félin japonais… par le nom. Car « Neko » veut dire « chat » à Tokyo comme à Hiroshima. Mais quand il veut quelque chose, il fait « miaou » et pas « niyā » comme les matous du Japon. Très sociable, il vit à Madrid, où sa famille d’accueil l’a trouvé dans la rue avec un fémur cassé.
Dino est mon bouledogue préféré. Né en août 2008, il est encore jeune, très enthousiaste et super câlin. Dans son quartier du 13ème arrondissement parisien, c’est une véritable star qui aime bien se la jouer quand sa maîtresse le promène. Son péché mignon : les glaces et toute l’année.
Enzo habite le 13ème arrondissement parisien. Plutôt tranquille mais très gourmand, il ferait n’importe quoi ou presque pour un yaourt à la fraise. A neuf ans, il est resté joueur et ne rate pas une course poursuite avec toutes les ficelles qu’il croise sur son chemin. Sinon, il aime aussi donner des coups de pattes de velours à son colocataire : un jeune bouledogue un peu remuant nommé Dino. Et depuis peu, il aime encore plus explorer le jardin de sa nouvelle maison de campagne située dans le Sud Ouest.
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La mode des porte-clés vivants a été lancée en Chine à l’automne 2011. A la sortie des stations de métro et des gares, des vendeurs ambulants proposent des gadgets transparents totalement inédits. A l’intérieur d’une petite poche en plastique bien scellée, un animal se débat dans une eau colorée. Tortue ou salamandre, il tente de garder la tête hors de l’eau pour ne pas se noyer. Poisson, il cherche à déplier ses nageoires pour éviter les crampes. Et pour l’acheteur, ça fait de… l’animation.
Entre 60 cts et 2 € l’unité, ces cercueils de poche new-age sont vendus à la sortie des stations de métro et des gares. Pour leurs fabricants, le business model a des allures de jackpot. Quelques centimètres carrés de plastique transparent de l’épaisseur d’un sac de congélation, quelques centilitres d’eau colorée, des animaux très jeunes vendus quelques centimes au kilo… les éléments de base restent très économiques et la production ne doit pas coûter bien cher.
En France, douze mammifères et six oiseaux sont susceptibles d’être classés nuisibles. Leurs torts sont divers : être trop nombreux, détruire les habitats d’autres mammifères ou oiseaux, piquer une partie des récoltes des agriculteurs, faire des vilains trous là où il ne faut pas, s’attaquer aux poulaillers des éleveurs… En bref, ils sont accusés de « causer des dommages aux activités agricoles, forestières et aquacoles » dans le texte.
Les animaux pouvant être « nuisibles » sont répertoriés dans une liste de dix-huit noms dressée le 30 septembre 1988. Mais une partie d’entre eux seulement risque de se retrouver traquée dans le Vercors ou la baie de Somme pendant les douze mois de la saison nuisible.
Ce petit pingouin du zoo de Cincinatti adore les chatouilles et va les chercher auprès des employés de la volière qui l’ont élevé. Il amuse les internautes depuis le printemps 2011.
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